Juppé plaide pour le « droit à l’oubli » avant d’entrer au Conseil constitutionnel
« Siéger parmi les « sages » est-il compatible avec un passé terni par une condamnation pénale ? Les députés de la commission des lois de l’Assemblée nationale qui auditionnaient l’ancien premier ministre Alain Juppé, jeudi 21 février, en vue de sa nomination au Conseil constitutionnel, ont décidé que oui. »